Una ruta cultural por la historia, las tradiciones, la gastronomía y la naturaleza de diez enclaves patrimoniales por el interior de Andalucía
La Aurora est construite en 1897 par l’architecte local Rodrigo García pour accueillir le siège de la centrale d’électricité, LA AURORA. Elle est représentée par une statue et de ses attributs, que l’on peut confondre avec un ange portant un flambeau. Construit en briques massives, le bâtiment est surmonté par ladite statue et se compose de trois étages réalisés dans le style mudéjar : colonnes en fonte, arcs outrepassés et créneaux surplombent le tout. On peut y lire l’inscription « Société électrique de Puente Genil ». Petite anecdote : « Puente Genil » y est écrit avec un J, et chacune des lettres en bronze pèse cinq kilos. L’édifice a conservé sa haute cheminée, visible depuis la calle capitán de Corbeta Reina Carvajal. Avec le Théâtre-Cirque et l’Ermitage du Dulce Nombre, la casa de la Aurora fait partie des trois monuments les plus remarquables du centre de Barrio de la Isla. Pour comprendre le contexte de cette fabrique d’électricité, il faut savoir que Puente Genil fut le premier village d’Andalousie et le deuxième d’Espagne (après Barcelone) à avoir l’électricité. Ce bâtiment est donc un élément clé du patrimoine industriel de la ville.
C/ Jesús, 8,puente-genil
L’entreprise est située à Navas del Selpillar, dans la municipalité de Lucena, et est chargée de réaliser des activités de tourisme actif, différents itinéraires de randonnée autour de Lucena : Visite guidée des zones humides de Lucena. Réserves naturelles. Laguna Amarga, Dulce, Jarales. Végétation et faune associée. Visite guidée des ressources en eau de Lucena. Sources, rivière Anzur, ancienne station thermale Horcajo, EDAR. Route à travers la forêt méditerranéenne : Pâturages et broussaille ; végétation et faune associée. Parcours guidé dans le Géoparc de la Subbétique. Langues : Anglais, espagnol.
C/ Navas. Las Navas del Selpillar
Ce bâtiment n’est pas seulement l’un des exemples les plus grandioses du baroque cordouan : c’est aussi l’un des plus originaux, comme en attestent son plan ovale et sa coupole octogonale. Cette église abrite aussi un magnifique retable. Datée du XVIIIe siècle et située sur la Route du baroque, elle possède un couvent où vivent des mères augustines.
Plaza Llanete de San Agustín,Lucena
Cette demeure date du XVIIIe siècle. Elle appartenait à la corporation de la soie et sa précieuse architecture et décoration démontrent l’importance de cette association de professionnels à Écija, chargés de la fabrication de la soie. La structure des étages supérieurs est semblable à celle des miradors. Elle a récemment été restaurée en redonnant à la façade ses couleurs d’origine.
C/ Mas y Prat,Écija
Cette église fut fondée en 1558, mais son architecture actuelle est due aux travaux réalisés à partir de 1620. L’église en forme de croix latine est dotée d’une façade sans fioritures, de chapelles latérales et d’une coupole centrale semi-circulaire qui, depuis sa hauteur, inonde de lumière l’intérieur de l’église. Le maître-autel est surmonté d’un majestueux retable de style baroque salomonique et d’un chœur aux superbes stalles. Le couvent annexe se compose d’une agréable cour ornée de deux niveaux d’arcatures – pour les cloîtres inférieur et supérieur – et centrée autour d’une imposante fontaine datant du début du XVIIe siècle.
Calle Juan Jiménez Cuenca, 43,Lucena
L’étonnante calle Flores permet d’accéder à l’un des quartiers les plus anciens et les plus emblématiques de la ville : le quartier de Santiago, qui abrite la paroisse du même nom. À deux pas de là, le Llano de las Tinajerías rassemble la plupart des ateliers et caves de poteries de la ville, dont certaines sont encore ouvertes au public.
A l’époque romaine, Carmona était dotée de quatre portes grâce auxquelles la ville fortifiée communiquait avec l’extérieur. En raison des nombreuses batailles décisives qui se succédèrent sur nos terres au fil des siècles, seules deux de ces portes demeurent : la porte de Séville et celle de Cordoue. Dans l’urbanisme romain, ces deux portes principales étaient reliées par le « cardo maximus », c’est-à-dire l’axe principal de la ville. Ce tracé est resté pour ainsi dire inchangé : il relie aujourd’hui encore ces portes et permet d’accéder au centre-ville par l’une ou l’autre d’entre elles. D’après les fouilles archéologiques, Carmona connut une période de croissance économique particulièrement forte au Ier siècle apr. J.-C., ce qui lui permit d’entamer la construction de grandes infrastructures publiques d’importance. C’est le cas de la Porte de Cordoue, destinée à jouer non seulement un rôle défensif mais aussi de propagande. La Porte de Cordoue porte les marques des cultures qui se succédèrent à Carmona. Sous le règne des Rois Catholiques, la Porte qui jusqu’alors jouait un rôle principalement défensif (ce qui explique son austère architecture militaire), fut utilisée à des fins fiscales pour soumettre les marchands de produits extérieurs à des droits de douane. C’est ainsi que […]
C/ Dolores Quintanilla,Carmona
Un petit oratoire, construit au XVIe siècle, qui abrite l’image d’un Ecce-Homo. Cette enclave est l’un des meilleurs exemples de la religiosité populaire, des racines et des traditions, si présentes dans la vie quotidienne des villes d’Andalousie. C’est là que commence un chemin de croix qui poursuit ses stations à travers le mont de las Cruces et se termine à l’ermitage de San Judas Tadeo, où l’on vénère l’image du Cristo Yacente.
C/ Santo Domingo de Silos Alcalá la Real
Le « Mercado de Abastos » de Priego de Córdoba est situé dans un cadre historique et patrimonial, car à côté de lui se trouvent les Carnicerías Reales (abattoirs royaux). À l’intérieur, vous trouverez plusieurs étals de pain et de produits artisanaux, de fruits et légumes, des bouchers, des poissonniers, une rôtisserie de poulet ouverte le week-end, une pizzeria, un salon de beauté, une boutique d’artisanat et un bar. Il y a également un parking avec un accès direct au marché pour faire des achats. Les heures d’ouverture de la place du marché sont de 7h30 à 23h00 (étals pendant les heures d’ouverture).
Ce musée municipal a pour but de présenter et de promouvoir les aspects essentiels de la culture de l’huile et des oliveraies. Il s’agit d’un environnement pédagogique qui fait appel aux cinq sens des visiteurs, et leur permet de vivre une expérience unique en se rapprochant de cette culture millénaire, en s’y plongeant. Le musée encourage le partage du savoir et le développement d’activités et de pratiques saines. Jusqu’en 1959, le bâtiment abritant le Musée de l’oliveraie et de l’huile d’olive de Baena fut le moulin de José Alcalá Santaella. La majorité de l’équipement du moulin à huile date du milieu du XIXe siècle. La surface d’exposition, répartie sur deux étages, dépasse 800 m². Au REZ-DE-CHAUSSÉE se trouve l’accueil, le moulin à huile restauré et opérationnel, la cave et une pièce à usages multiples. Au PREMIER ÉTAGE se trouvent la bibliothèque et « l’atelier de l’huile », ainsi que plusieurs espaces d’exposition qui montrent comment l’huile peut servir de source de lumière, de chaleur et d’énergie électrique. Son utilisation culinaire, ses vertus diététiques, l’importance symbolique de l’olive, les proverbes, la médecine populaire et bien d’autres choses y sont également développés.
museo del aceite baena