Una ruta cultural por la historia, las tradiciones, la gastronomía y la naturaleza de diez enclaves patrimoniales por el interior de Andalucía
Entreprise située dans la municipalité sévillane d’Écija. Elle offre les services suivants : Des activités pour les particuliers et les groupes. Visites de l’oliveraie biologique (30 min. – 1 heure) Dégustation d’huile biologique (20 min.-1 heure) Forfait de visites archéologiques et gastronomiques d’Écija (en collaboration avec l’association Écija Arqinnova). Comprend une visite archéologique, une visite du Marché central et un menu de dégustation avec des recettes typiques d’Écija élaborées avec nos huiles d’olive. (2-3 heures). Il y a une boutique en ligne. Réservation par téléphone. Langues : Espagnol, anglais, français, allemand.
Plaza de Puerta Osuna 15, Écija
Comienzan en el verano del año 1998 los primeros ensayos de la banda de Cornetas y Tambores Ntra. Sra. de las Angustias, desde ese momento y hasta el día de hoy el propósito de la Hermandad ha sido el de formar tanto person
Pol. Industrial Atalaya parc. 13,Cabra
Si les travaux commencent en 1794, l’Alameda n’adopte son allure actuelle qu’en 1925, c’est-à-dire peu de temps avant l’Exposition Ibéroaméricaine de Séville de 1929. C’est à l’influence d’Aníbal González que l’on doit cette architecture, typique de la région. Un jour, une fontaine est érigée sur le faubourg. Des modifications sont apportées sous le règne de Jeanne Ière de Castille, et la fontaine est baptisée Fontaine des Lions. Entourée de bancs de pierre, elle devient bientôt un lieu de détente, ce qui justifie quelques années plus tard la construction d’une promenade (alameda) tout autour. Cette fontaine était aussi connue sous le nom de « Plaza de Abajo », par opposition à la « Plaza de Arriba » (ou Plaza de San Fernando), qui servait à désigner la partie la plus élevée de la vieille ville.
Calle Alameda, 3, carmona
La Porte de Séville est l’un des monuments emblématiques de la richesse et de la diversité architecturale de Carmona. Certains vestiges archéologiques datent du XIVe au XIIe siècle av. J.-C., mais l’origine de l’édifice, elle, remonte au IXe siècle av. J.-C. L’intérêt artistique et historique de ce monument fut reconnu avant même la Giralda de Séville. Il permet de suivre, comme à l’aide d’une frise chronologique, les événements et faits qui ont marqué l’Histoire de l’Occident, auxquels la ville participa ou dont elle fut le témoin. En effet, les habitants de la péninsule ibérique et de l’est de la Méditerranée (Phéniciens, Carthaginois, Romains, Arabes et Chrétiens) ont gravé dans la pierre l’empreinte de leur culture. Pour mieux résister aux assauts de l’armée romaine, les Carthaginois transforment cette tour du VIIIe siècle en bastion, lui conférant par là même son allure rectangulaire, massive et robuste. Les Romains, eux, renforcent et modifient la structure érigée par les Carthaginois à l’aide de nombreuses portes, encore debout aujourd’hui. Puis ils construisent au sommet du bastion un temple, ainsi qu’une estrade. Ces modifications et celles que les Romains continuèrent d’apporter par la suite (notamment au Ier siècle de notre ère), firent de Carmona « la ville […]
C/ Puerta de Sevilla s/n,Carmona
Vraisemblablement fortifiée à l’époque romaine, la structure de l’enceinte se précise à l’époque musulmane. Elle adopte sa forme définitive lorsque Pierre Ier lance des travaux de rénovation au XIIe siècle pour en faire l’un de ses résidences préférées. Cette forteresse se compose de deux enceintes imbriquées l’une dans l’autre, chacune étant dotée de remparts et de barbacanes. L’accès à la forteresse se fait par une façade protégée par une douve et qui donne sur la ville. Un arc brisé mène à une petite salle d’armes qui accueille aujourd’hui le Parador de Tourisme, autrefois défendu par trois tours dont deux seulement sont parvenues jusqu’à nous. Les Rois Catholiques décident ensuite d’embellir les dépendances royales. Puis le bâtiment fut durement frappé par le séisme de 1755 et n’a cessé de se dégrader depuis. Le Parador est une construction plus récente, mais si l’on se fie au style architectural, on comprend que ces murs doivent avoir abrité jadis le palais que ces murailles protégeaient. La terrasse offre une vue imprenable sur la vallée de Carmona.
C/ Alcázar, s/n,Carmona
Aloe del Genil est une entreprise familiale fondée en 2010 pour cultiver et commercialiser de l’aloe vera biologique. Elle est certifiée par le Comité Andaluz de Agricultura Ecológica (CAAE) et est qualifiée d’entreprise innovante et créatrice d’emplois par la Consejería de Innovación, Ciencia y Empresa de la Junta de Andalucía. Dans son portefeuille, du jus d’aloe vera 100 % biologique et de la pulpe en cubes au naturel, au vin rouge et à Pedro Ximénez.
Aloe del Genil
Amphora Alojamiento, es un pequeño establecimiento hotelero, bajo dirección familiar, con mucho encanto y cuidado hasta el más mínimo detalle. Cuenta con 10 espaciosas habitaciones decoradas para que te sientas cómodo dentro de un marco incomparable.
Plaza de Santa María, 8 Écija
La construction débute en 1649 au lieu-dit Cruz de Berral, dans une rue reliant la calle Luna et la calle de Aguilar. Ce couvent est construit sur la volonté d’un habitant de Puente Genil, Don Francisco Gil de Melgar, chanoine de la Sainte Cathédrale de Séville et personnage très apprécié de ses contemporains, qui laissa dans son testament une somme suffisante pour la construction de l’édifice. Les travaux débutent en 1649 et se poursuivront jusqu’en 1692, date que l’on peut lire sur une plaque de la façade latérale du couvent. Commence alors la décoration de l’intérieur du bâtiment : le retable majeur et les retables latéraux datent d’avant 1738 et sont l’œuvre du sculpteur et retabliste Felix Pérez de Mena, originaire d’Aguilar de la Frontera. Le sculpteur Pedro de Mena Gutiérrez, de Lucena, réalise le retable de San Antonio en 1748. Les parois latérales de cet édifice en croix latine, d’influence baroque, sont dotées de petites niches abritant de petits retables baroques tout à fait charmants, qui rendent hommage, en autres, à Saint François d’Assise, Saint Antoine, Sainte Barbe, la Vierge du Pilier, Saint Marc et Notre Dame des Anges, la titulaire de l’église. A l’intérieur, les parois du bâtiment […]
C/ Aguilar,1, puente-genil
L’idée de bâtir un couvent dédié à Saint François de Paule à Puente Genil remonte à la fin du XVIe siècle, mais il fallut attendre que Doña Juana Enríquez de Ribera, Marquise de Priego et maîtresse de la Villa, soutienne fermement ce projet pour qu’il se concrétise pendant la seconde moitié du XVIIe siècle. Les travaux de construction du couvent et de l’église prirent toute la seconde moitié du XVIIe siècle. La façade est achevée en 1707 et le cloître en 1725. L’intérieur de l’église est orné de retables en bois sculpté et doré. A ce titre, mentionnons le retable majeur, réalisé en 1736 par Juan Cazorla, sculpteur originaire de Lucena. Signalons également un autre retable découvert récemment, représentant « le martyre de Saint Jude Thaddée » et réalisé au XVIIIe siècle par José Antonio Ruiz Rey, un artiste local. Le couvent est désamorti une première fois en 1822, ce qui entraîne la vente de ses biens. La Communauté y réinstalle l’année suivante un nombre réduit de frères, jusqu’à la sécularisation définitive du monument. Le bâtiment sert tour à tour de pension, d’école et de caserne, se dégradant peu à peu jusqu’au jour où le premier compte de Casa-Padilla en […]
CONTRALMIRANTE DELGADO PAREJO,puente-genil
Il date du Ier siècle av. J.-C. J. Fernández López et Jorge Bonsor lancèrent les fouilles archéologiques en 1885. D’après les calculs, la cavea était composée de 30 gradins. Une partie de la cavea (ou gradins) se trouvent en-dessous du niveau de la chaussée: l’« ima cavea » et la « media cavea ». Creusées à flanc de colline, elles ont survécu jusqu’à aujourd’hui. En revanche, la partie supérieure des gradins, ou « summa cavea », qui constituait la partie la plus construite, n’a pas survécu au poids des siècles. Les différents espaces nécessaires aux spectacles se trouvent, eux aussi, sous terre : loges, cages pour les fauves, etc. Les gradins étaient sûrement recouverts de marbre ou d’un autre matériau noble, et une foule de statues devaient décorer l’amphithéâtre, comme c’était la coutume pour ce type d’infrastructure. Sur la façade Est, on remarque une rampe d’accès semblable à celles qui devaient être postées à chaque coin pour permettre l’accès à la sortie ou aux vomitoires. Cet amphithéâtre a probablement dû servir aux combats avec des fauves et à d’autres manifestations artistiques et culturelles. Visites : horaires et tarifs
Av. Jorge Bonsor, 9,Carmona
Il s’agit de l’une des portes historiques de l’enceinte fortifiée d’Utrera. L’ancienne muraille disposait de nombreuses portes pour entrer et sortir de la citadelle, mais la plupart n’ont pas survécu de nos jours et il ne reste que quelques vestiges archéologiques des autres. Cependant, la mieux conservée est sans aucun doute l’Arche de la ville, qui actuellement délimite la fin du centre historique d’Utrera et le début des quartiers périphériques.
Final Calle San Fernando, Utrera
XVIIIe. Porte triomphale de forme néoclassique. L’Arche de la Pastora, avant d’être éclipsée par les édifices de différentes hauteurs qui l’entourent aujourd’hui, fut une porte commémorative, construite en pierre sous le règne de Charles IV, en l’an 1794, selon la date gravée sur la plaque qui orne le tympan du côté de la place Cervantes, tandis que sur la plaque de l’autre côté de l’arche, qui donnait sur des champs avant la construction des Arènes, on peut lire « SOUS LE RÈGNE DE CHARLES IV ET DE MARIE-LOUISE DE BOURBON. ANNÉE MDCCXCVI ».
Plaza Cervantes,Osuna
Cette porte, que l’on peut dater de la seconde moitié du XVe siècle, ne fait pas partie des remparts de la cité médiévale, mais correspond à un moulin à farine dont le bief devait traverser le chemin public qui passait en dessous. C’est pourquoi il s’est construit un passage voûté praticable, en berceau, surmontée d’un arc ogival aveugle. Le tout fabriqué en pierre de taille – travertin – exploitant parfois le substrat géologique naturelle. Cette structure est d’une grande valeur historique car c’est le seul exemple d’architecture civile monumentale du Moyen Age qui subsiste dans la zone urbaine de la ville. C’est ici que commence le chemin piéton aménagé qui longe la basse Adarve et conduit à la Puerta del Sol, dans le Barrio de la Villa.
RIBERA DE MOLINOS, Priego de Córdoba
Inaugurées le 13 mai 1904. Construites en pierre provenant des carrières d’Osuna. Lieu ouvert au public hors spectacles. Inauguré en 1904 pour accueillir les fêtes taurines qui se tenaient auparavant dans les rues de la ville. Bâtie selon le schéma qui s’imposait alors : piste, barrière et contre-piste, la construction s’appuie sur deux enceintes concentriques en grès extrait des carrières, et se subdivise en huit zones avec chacune son accès propre. Au milieu du pourtour, face à l’entrée des taureaux, se trouve un tunnel voûté en terre qui rappelle les souterrains arrondis de l’amphithéâtre d’Itálica. L’arène, qui atteint presque quarante-huit mètres de diamètre, est une des plus grandes de la péninsule. Les tribunes comptent 6.500 places.
plaza de toros, Osuna
Sa construction fut terminée en 1892. Elle présente la particularité d’être creusée dans la roche. Elle est composée de deux étages avec des loges à l’étage supérieur et est équipée de toutes les installations qu’exige le règlement. Il y a de la place pour 7.000 spectateurs. Elle fut inaugurée le 7 Août 1892 avec une corrida de six taureaux de l’élevage de M. Eduardo Miura, qui furent tués tête-à-tête par Rafael Molina « Lagartijo » et Rafael Bejarano « Torerito ». D’autres dates taurines importantes furent la corrida célébrée le 7 Août 1890, avec les arènes inachevées, dans laquelle le matador Rafael Guerra « Guerrita » toréa six taureaux de cinq années du troupeau de la Marquise veuve de Saltillo. Le 2 Septembre 1932 eût lieu la corrida en hommage à M. Niceto Alcalá Zamora, premier président de la II République Espagnole, avec les toreros Marcial Lalanda, Manuel Bienvenida et Domingo Ortega, et les taureaux de l’élevage de Manuel Arranz. La corrida commémorative du centenaire fut le 8 Août 1992, avec les taureaux de l’élevage de Luis Algarra Polera, remplaçant ceux du Marquis de Ruchena annoncés à l’affiche, pour les toreros Miguel Baez « Litri », Julio Aparicio et Finito […]
Av. de España,Priego de Córdoba
Jesús Richarte s’est inscrit à l’école des arts de Séville en 2013, où il a obtenu un diplôme en arts appliqués de la sculpture. Par la suite, il s’est familiarisé avec la sculpture sur bois, la polychromie et le modelage de l’argile dans divers ateliers. En 2015, il a installé son propre atelier à Écija, où il a commencé à travailler sur d’importants projets d’imagerie pour la Semaine sainte dans différentes villes d’Espagne.
C/Cánovas del castillo 15-a (local), Écija
Cette entreprise, située dans la ville de Baena, dans la province de Cordoue, propose des visites guidées, des expériences et des ateliers éducatifs pour les groupes et les particuliers, en espagnol et en anglais.
Avenida Castro del Rio, 1-2D, Baena
La Mairie se trouve dans l’ancien couvent des jésuites, dont les travaux prirent fin en 1621. Suite à la Sanction pragmatique de Charles III, les jésuites de Carmona sont dépossédés de leurs biens et leur couvent converti en pension. En 1842, la Mairie décide d’y installer ses quartiers. Les réformes les plus récentes datent de 1980 et 1992. Le bâtiment s’articule autour d’un vieux cloître, où l’on peut admirer une magnifique mosaïque romaine (mosaïque de la Méduse) découverte dans la vieille ville de Carmona. Dans la salle de réunion se trouvent une cippe dédiée à Tullius Amelius ainsi que des fragments de la mosaïque de Brume.
C/ El Salvador, 2,Carmona
Casa rural situada en Priego de Córdoba, al borde del Parque natural de las Sierras Subbéticas, al pie del pico más elevado 1.568 m. de la provincia de Córdoba. Tiene dos plantas unidas por escalera interior. La parte de abajo esta incrustada en el terreno, lo que la hace un tanto singular, aparte de darle encanto y frescura en verano y calidez en invierno. En la planta superior se encuentra una sala de estar amplia con terraza, comedor, cocina y tres dormitorios todos con armario y cuarto de baño individual. Fuera cuenta con un pequeño huerto para disfrute de los huéspedes, piscina, barbacoa y unas vistas impresionantes. La casa se encuentra a una altitud de 820m y a 1km 1/2 del centro de Priego de Córdoba, capital del barroco andaluz y ciudad del agua.
Casa Rural Balcón de la Almorzara, Priego de Córdoba
Classé site historique et artistique depuis 1972, c’est le centre ville historique de l’actuel Priego. D’origine médiévale évidente, ses rues étroites et sinueuses offrent un parcours labyrinthique, largement récompensée par l’harmonie et la beauté des maisons et l’éclat de leurs murs chaulés. Entouré par l’Adarve, balcon naturel et défense historique de l’ancienne cité médiévale. En vous promenant dans ce quartier unique, ne manquez pas de passer par la rue Bajondillo, la Plaza San Antonio et la rue Real rue qui vous conduira au Paseo de la Colombia, communément appelé « Promenade des Roses ».
Barrio de la Villa,Priego de Córdoba
L’étonnante calle Flores permet d’accéder à l’un des quartiers les plus anciens et les plus emblématiques de la ville : le quartier de Santiago, qui abrite la paroisse du même nom. À deux pas de là, le Llano de las Tinajerías rassemble la plupart des ateliers et caves de poteries de la ville, dont certaines sont encore ouvertes au public.
Es el barrio más pintoresco de Cabra y junto al Barrio de la Villa se caracterizan por conservar todo el sabor y color que Don Juan describió en sus obras, especialmente en « Pepita Jiménez ». Nos encontramos ante un barrio de blancas casas encaladas y bellos balcones adornados con las más típicas flores, las cuales durante el mes de mayo, en la celebración de las fiestas de la Cruz, ofrecen a todo el que lo visita los más bellos colores y dulces aromas de esta tierra, invitando a pasear por él y conocer la acogedora iglesia de San Juan Bautista.
Cabra
Le Centre d’interprétation de la Basilique et de l’Origine du Christianisme a été inauguré en 2008, suite à la restauration et la revalorisation de cet important site découvert au lieu-dit Cortijo Coracho. L’église à plan basilical aurait été construite entre les IVe et VIIe siècles. Non loin de l’édifice se trouve une nécropole. L’origine de l’église remonte au début de la légalisation du christianisme par l’empereur Constantin, durant la première moitié du IVe siècle. En visitant le Centre, on peut admirer la nef centrale (séparée des nefs latérales par des colonnes et un chœur), l’abside semi-circulaire et sa chaire (côté ouest), un baptistère ou mausolée et une abside rectangulaire (côté est).
basilica de coracho, lucena
Carmona Bike Tours est une entreprise formée en 2014 par deux jeunes de Carmona, avec l’idée de promouvoir le tourisme à vélo. Ils proposent la location de vélos à Carmona. Langues : Anglais, espagnol.
Carmona Bike Tours
Abattoir et marché datant du XVIe siècle. Portail au style maniériste de Francisco del Castillo. Bâtiment de forme carrée avec une cour centrale, entourée d’arcades aux colonnes torses et un magnifique escalier de pierre en colimaçon.
CARNICERIAS REALES, Priego de Córdoba
La Aurora est construite en 1897 par l’architecte local Rodrigo García pour accueillir le siège de la centrale d’électricité, LA AURORA. Elle est représentée par une statue et de ses attributs, que l’on peut confondre avec un ange portant un flambeau. Construit en briques massives, le bâtiment est surmonté par ladite statue et se compose de trois étages réalisés dans le style mudéjar : colonnes en fonte, arcs outrepassés et créneaux surplombent le tout. On peut y lire l’inscription « Société électrique de Puente Genil ». Petite anecdote : « Puente Genil » y est écrit avec un J, et chacune des lettres en bronze pèse cinq kilos. L’édifice a conservé sa haute cheminée, visible depuis la calle capitán de Corbeta Reina Carvajal. Avec le Théâtre-Cirque et l’Ermitage du Dulce Nombre, la casa de la Aurora fait partie des trois monuments les plus remarquables du centre de Barrio de la Isla. Pour comprendre le contexte de cette fabrique d’électricité, il faut savoir que Puente Genil fut le premier village d’Andalousie et le deuxième d’Espagne (après Barcelone) à avoir l’électricité. Ce bâtiment est donc un élément clé du patrimoine industriel de la ville.
C/ Jesús, 8,puente-genil
Le bâtiment annexé à l’église de San Pedro Mártir de Verona était l’ancien couvent dominicain fondé en 1575 par l’évêque de Cordoue. En 1836, par le décret de sécularisation, il est entré dans le patrimoine national. En 1844, il a été vendu aux enchères et est devenu la propriété de Juan de Navas García. Le bâtiment était une usine d’anis, un moulin à huile et une cave à vin avant de devenir une propriété municipale. Il conserve une splendide cour à portique maniériste avec des arcs en demi-cercle et des colonnes sur une base de piédestal. En son centre se trouve une fontaine entourée d’un jardin et de palmiers. Le bâtiment a maintenant été rénové et sera transformé en un centre public polyvalent et de services citoyens. Le projet a récupéré la cour centrale à arcades et une seconde cour arrière comme espaces verts ouverts pour le plaisir de tous les citoyens. Le reste du bâtiment est conçu de manière polyvalente pour divers usages fonctionnels tels que les expositions, l’enseignement, les usages sociaux, les réunions, etc., avec un total de 11 salles réparties sur les trois étages.
C/ San Pedro, 50, Lucena
La Casa Hermandad sera inaugurée le 24 janvier et ouvrira ses portes au public le 31 janvier 2015. C’est une grande maison qui mérite d’être visitée et de connaître son intérieur. Composé de plusieurs salles, elle comprend un espace d’accueil, une salle de réunion aménagée pour la projection d’audiovisuels, donnant une idée globale de la Semaine Sainte de Lucentina. À l’intérieur, il est également possible de voir l’espace d’exposition, où l’on peut voir d’intéressants exemples d’art sacré et des objets propres à la Confrérie, ainsi qu’admirer les trois « palos » (chars de procession) qui font leur procession pénitentielle le Mardi saint. Avec cette visite, le visiteur aura également l’occasion d’apprendre par lui-même la vie quotidienne de la Confrérie de l’amour.
C/ Viana 24, Lucena
Cuenta tres dormitorios, 2 habitaciones con cama de matrimonio y otra habitación con 2 camas de 90, también disponende sillón supletorio o sofá cama. Todas las habitaciones con ventanas a la calle y aire acondicionado, tiene dos baños uno con plato de ducha y otro con bañera agua fría y caliente, Tiene lavadero con todo su equipaje, lavadora, pila, etc, cocina toda equipada, vitro, nevera, microondas, etc, agua potable tiene porche por la entrada y piscina toda equipada con barbacoa tiene barra de bar y amplio espacio, tiene su ducha y su baño muy iluminado para la noche, puede ser acompañado de tus mascotas.
C/ Huertas del Duque, 15, Jauja
La casa se encuentra en la vía verde del Aceite. Esta fantástica casa de vacaciones para 6 personas con piscina, situada en las afueras de Lucena, se encuentra en una zona cercana a las faldas del Parque Natural de las Sierras Subbéticas, muy bien conectado con las carreteras que te llevarán a Córdoba, Granada, Málaga o Sevilla, todas ellas a menos de una hora. El entorno montañoso te permitirá visitar preciosos pueblos de la zona como Priego de Córdoba o Zuheros o hacer una excursión Iznájar. La casa se encuentra en plena vía verde, a solo unos 200 metros. Cuenta con una terraza acristalada, una buena piscina y una zona de jardines para poder elegir cómo disfrutar del exterior. Con un amplio terreno completamente cercado, esta casa también te permite viajar con tu perro.
Diseminado, 110, Lucena,
Casa Orbe en Osuna ofrece alojamiento con aire acondicionado y balcón. Los huéspedes de esta casa tienen acceso a una cocina totalmente equipada. Cuenta con TV de pantalla plana, 4 dormitorios y terraza. El aeropuerto más cercano es el de Sevilla, ubicado a 73 km.
C/ Cádiz, 36, Osuna
La façade principale de ce palais baroque est ornée d’armoiries doubles. La Casa Palacio de los Duques de Medinaceli a eu plusieurs noms depuis sa création. Le plus connu reste cependant la « Mayordomía ducal », en référence au majordome chargé d’administrer la demeure du duc de Medinaceli au village du pont de Don Gonzalo. Depuis quelques décennies, cette demeure porte le nom de la famille Vergara, derniers propriétaires en date. La Casa Palacio fut construite au cours du dernier tiers du XVIIIe siècle, bien que des travaux soient encore en cours au début du XXe siècle. Elle se compose d’une immense façade en pierre (la plus grande du village), de trois étages et d’un magnifique balcon central flanqué de deux loggias. Deux armoiries identiques ornent la façade ; la pierre employée pour réaliser les décorations provient des carrières de la Sierra Gorda voisine et passa peut-être entre les mains des frères Gallardo, des tailleurs de pierre actifs à cette époque et apparaissant dans les documents de construction du Sanctuaire de la Conception. La maison a conservé son splendide patio bordé de colonnes, ses escaliers et ses nombreuses salles au mobilier d’époque, sans oublier son charmant jardin et ce que […]
C/ Don Gonzalo,26, puente genil
Villa «Torreblanca», confortable. En la localidad Lucena, lugar aislado, tranquilo, soleado. Privado: jardín, piscina (13 x 6 m, 110 – 170 cm de profundidad, 01.01.-31.12.). Ducha exterior. En el inmueble: aire acondicionado. Aparcamiento junto a la casa en el mismo terreno. Supermercado 3 km, restaurante 1 km, bar 1 km, panadería 3 km. Atracciones en los alrededores: Córdoba 70 km. Zona de senderismo Sierra Subbéticas 15 km. «Torreblanca», casa 5 estancias 100 m2 en 2 plantas. Vivienda adecuada para 6 adultos. Con mobiliario confortable: salón-comedor con mesa de comedor y TV (pantalla plana), aire acondicionado. Salida a la terraza. 1 dorm. doble con 1 cama doble (2 x 90 cm, 190 cm de longitud), aire acondicionado y ventilador. 1 dorm. doble con 1 cama doble (2 x 90 cm, 190 cm de longitud), aire acondicionado. 1 dorm. doble con 2 camas (90 cm, 190 cm de longitud), aire acondicionado. Grande cocina (horno, lavavajillas, 4 placas de vitrocerámica, microondas, congelador, cafetera eléctrica) con rincón-comedor. Baño/bidet/WC. En planta inferior: salón con chimenea y barra americana. (microondas, congelador). Terraza grande. Muebles de terraza, barbacoa. Vista muy bonita a la localidad. El alojamiento dispone de: lavadora, plancha, trona, cuna hasta 2 años, secador de […]
Camino de los Poleares, 278, Lucena
La Semaine sainte de Carmona se distingue par son imagerie, car elle possède des images uniques d’une valeur incalculable, parmi lesquelles une place privilégiée doit être accordée au Señor de la Amargura. Cette pièce, fabriquée par Jorge Fernández Alemán en 1521, est la plus ancienne datée qui fait l’objet d’une procession pendant la Semaine Sainte en Andalousie et se trouve dans l’église de San Felipe. Il convient également de mentionner le travail artisanal minutieux et la valeur patrimoniale qui se reflète dans le viatique qui accompagne les palos (chars des processions), comme les broderies, les sculptures et le travail de l’or et de l’orfèvrerie. On peut apprécier tout cela en visitant les Casas Hermandades de Carmona, où l’on peut contempler des objets et des pièces de grande valeur : Casa Hermandad de la Columna, église de Santiago Casa Hermandad de la Amargura, église de San Felipe Casa Hermandad de la Esperanza, Église du Salvador Casa Hermandad de la Humildad y Paciencia Casa Hermandad de Nuestro Padre Casa Hermandad del Santo Entierro Casa Hermandad de la Expiración Casa Hermandad del Descendimiento
Carmona
Avec plus de 160 ans d’existence, le Casino est ouvert aux visiteurs qui souhaitent se détendre dans ses magnifiques salons originaux. Le Casino a ouvert ses portes aux membres en 1848. Il s’est agrandi depuis et héberge un théâtre, actuellement en pleine restauration, qui appartient à la mairie aujourd’hui. C’est un bâtiment aux allures coloniales. Il comporte une cour centrale carrée aux colonnes de fer forgé, deux étages et une galerie circulaire avec une rambarde métallique et une verrière au dessus ; les plinthes sont carrelées et un ventilateur accroché au centre de la cour, au-dessus d’une table ronde, crée un espace de détente. D’ailleurs, l’ensemble du Casino est aujourd’hui dédié à la détente, un endroit tranquille pour séjourner, souvenir des casinos du dix-neuvième siècle créés comme lieux de représentation et de fête. Il y a des salles de danse, des escaliers en marbre, des salles à manger vides, des salles de jeux et de réunion réservées aux membres, une cafétéria pour déjeuner ou manger des tapas et un salon qui ouvre sur la place.
plaza mayor, Osuna
El origen de este edificio, construido en el año 1897, se debió a un encargo de Antonio López conocido por Palomo para sede de un café de nueva planta. La construcción la llevó a cabo el maestro de obras Rodrigo García, autor de numerosos edificios en Puente Genil. La fachada consta de tres plantas y la primera planta la recorre en toda su extensión una gran balconada, las amplias cristaleras recuerdan las fachadas de los palacios venecianos del renacimiento italiano.
Plaza Nacional, 6,puente-genil
Elle fut construite par la confrérie au début du XVIIIe s. (entre 1719 et 1723) essentiellement pour offrir un lieu de culte public à ses membres. Sa façade extérieure est composée de pilastres, d’un entablement brisé, d’un fronton droit et d’un tympan (avec l’écusson de la trinité). Elle est couronnée par un clocher-peigne à deux étages orientés dans le sens décroissant : le niveau inférieur avec une embrasure étroite et le supérieur encadré par un linteau et un fronton droit. L’intérieur de l’église, à une seule nef, présente une sacristie située derrière le maître-autel, qui est recouvert de divers types de toitures suivant les zones. Le grand retable, acheté aux frères mineurs de Séville vers le milieu du XVIIIe siècle, présente une physionomie typique du derniers tiers du XVIIe siècle.
C/ Cristo de los Afligidos, 36,Utrera
Cette chapelle fait partie de l’enceinte du Colegio Salesiano, le plus ancien de la congrégation en Espagne (vers 1885). Le bâtiment salésien construit à l’intérieur se distingue tout particulièrement par le grand espace qu’il occupe, qui s’étend sur toute la large et spacieuse allée, en projetant une image qui, malgré sa hauteur, est horizontale et n’est interrompue que par ses clochers-peignes élancés qui s’élèvent pour atteindre le divin. La chapelle, datée de la deuxième moitié du XVIIe siècle, présente une nef en forme de croix latine surmontée de voûtes en berceau, de lunettes et d’arcs en plein cintre, qui descendent sur une corniche longeant toute l’église. Il convient de signaler tout particulièrement sa magnifique décoration picturale, fruit de la transition du XVIIe au XVIIIe siècle, à l’apogée de la peinture murale sévillane.
Av. San Juan Bosco, 13. Utrera,Utrera
XVIIe. Ici l’on vient vénérer l’image du saint patron d’Osuna, San Arcadio, qu’on fait défiler dans les rues de la ville au 12 janvier de chaque année. L’église fut construite au XVIIe et rénovée au XVIIIe. A l’intérieur, une voûte en berceau et une coupole sur pendentifs recouvrent la nef unique à la croisée du transept.
Paseo San Arcadio,Osuna
Communément appelée chapelle de Jesús de Nazareno, elle fit partie du couvent dominicain de San Bartolomé, dont la construction fut prise en charge par Don Bartolomé López de Marchena qui, en 1542, ordonna son édification afin de « soigner et renforcer le corps et l’esprit ». La chapelle fut certainement construite au XVIIe siècle et fit l’objet d’une importante rénovation dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Son entrée, aux lignes épurées et colonnade simple, présente une façade avec des pilastres qui supportent un fronton, interrompu au milieu par une composition d’azulejos qui représente l’image de Jésus Christ. L’entrée donne accès à un petit temple à nef rectangulaire surplombée d’une voûte en berceau avec des lunettes et des arcs en plein cintre, qui reposent sur une corniche dentelée. L’image de Jésus de Nazareth est typique du classicisme de l’école sévillane du dernier tiers du XVIe siècle.
Av. San Juan Bosco, 10,Utrera
Le Château Anzur est un modeste château juché sur une des collines encerclant Puente Genil. Il ne reste plus du château que son imposante tour de guet aux minuscules miradors, dont la silhouette est visible depuis divers endroits de la région, le château étant perché sur l’une des plus hautes collines de Puente Genil. Construit par les Arabes au Xe siècle, le château servait à surveiller les alentours. De nombreux vestiges archéologiques ont été retrouvés à proximité de la tour (murailles, récipients…) qui témoignent du passage de différentes cultures : ibère, romaine et arabe. L’histoire de Puente Genil est intimement liée à celle du Château Anzur. D’ailleurs, ce dernier apparaît dans les armoiries de la ville, réalisées après l’union entre Pont de Don Gonzalo (province de Cordoue) et Barrio de Miragenil (province de Séville).
castillo anzur, Puente Genil
Perché sur une colline naturelle au nord-ouest de la ville, il se trouve à proximité de la paroisse de Santiago el Mayor. Il fut construit par le Conseil de Séville sur les vestiges d’une ancienne tour arabe. Alphonse X le Sage le mentionne dans ses écrits en 1264. En 1368, il fut détruit par Mohammed V de Grenade, puis reconstruit à la fin du XIVe siècle. Il a alors été laissé à l’abandon depuis la fin du XVe siècle jusqu’à nos jours, où il a été restauré. Sa surface de forme rectangulaire s’adapte suivant l’orientation nord-est-sud-ouest à celle de la colline. Il possède des tours carrées plus petites aux angles orientées vers l’intérieur de l’enceinte fortifiée, qui présentent une surface rectangulaire et une plus grande largeur sur les côtés (nord-est et sud-ouest), qui s’adaptent au versant de la colline. Les tours extérieures ainsi que les murs-rideaux ont été construits en pisé plein. Celles-ci présentent une construction différente certainement en raison de la fonction remplie par les tours externes, qui servaient d’appuis à la structure, certaines s’étant complètement effondrées. Sur la façade nord-est très escarpée, se trouve l’accès, formé par un arc en plein cintre, défendu par la Tour del Homenaje, […]
C/ Ponce de León, 13, Utrera,Utrera
Ce bâtiment fut construit au nord-ouest de la ville moderne, à l’intérieur des murailles. Il comportait une place d’armes qui pouvait accueillir de huit à dix mille soldats, et était entouré d’une solide muraille composée de 18 tours. De la construction initiale ne reste qu’un peu plus de la moitié de la muraille, qui a permis de déterminer assez précisément le plan du site, très probablement quadrangulaire, d’une superficie de 76 x 47 m., approximativement. Les murs sont d’une épaisseur d’environ 2,60 m. Quant aux tours, on est certain de connaître parfaitement deux d’entre elles, ainsi que l’emplacement de deux autres, aux côtés de la porte d’entrée du site actuelle. Au centre du mur oriental, mi-sortant, se trouve la Torre del Homenaje, de forme carrée, qui mesure plus de 20 m de hauteur. À quelques 11 m. au dessus du niveau du sol actuel, se trouve une pièce de plan carré, ornée d’une voûte et de colonnes octogonales. L’autre tour conservée se situe au coin extrême Nord-Ouest. Elle est également carrée, le côté qui se trouve à l’intérieur du site étant chanfreiné, et mesurant jusqu’à 10 m. de hauteur. De nos jours, le site héberge le couvent des Piaristes.
Plaza del Conde de Cabra
Antiguo convento-hospital de la Orden de San Juan de Dios, anexo a la capilla barroca que aun hoy sigue siendo templo de culto, se nos presenta el “Casino” o Círculo de la Amistad lugar donde destacados personajes de la obra valeriana vivieron largas tertulias y acalorados debates sobre los más variados temas del momento. En su obra “Pepita Jiménez” encontramos una magnífica descripción del lugar: “El centro de la concurrencia era el patio, enlosado de mármol, con fuente y surtidor en medio y muchas macetas…”. En él encontramos un azulejo que recuerda al escritor, durante un tranquilo recorrido por las diferentes dependencias podemos observar algunos cuadros de su familia y podremos visitar un pequeño museo sobre el costumbrismo de la época que Valera recoge en sus obras.
C/ Cervantes, 1,Cabra
Le Club Caballista de Carmona organise des randonnées équestres à l’intérieur et à l’extérieur de la municipalité de Carmona.
Finca la Fortuna, Carmona
Une collection de 800 objets et artefacts des XIXe et XXe siècles. Cette collection (dont une partie seulement est exposée au public pour des raisons d’espace) est le fruit de la compilation d’objets et d’outils liés aux coutumes et traditions en rapport avec le travail et la vie quotidienne à la campagne. Cette collection invite le visiteur à un voyage dans le temps au travers d’objets, de biens, d’ustensiles ou de machines liés à un mode de vie aujourd’hui tombé en désuétude et dont seuls nos aînés se souviennent. La collection se divise en quatre sections consacrées aux cultures traditionnelles de la région, qu’il s’agisse de cultures sur terrain non irrigué ou de cultures irriguées – fruits et légumes, oliviers, vignes.
C/ Fernán Pérez, 9,puente-genil
En la Plazuela del Marqués de las Torres se ubica el Convento de las Descalzas, que fue fundado en 1629 contra la voluntad del Cabildo de Carmona. Su inauguración oficial no sería hasta 1748, año en el que el pueblo celebraría solemnes fiestas con este motivo. Actualmente, existe una congregación de monjas Agustinas Descalzas Recoletas. En el interior del convento, su iglesia destaca por una rica decoración propia del Barroco rematada con una fachada con doble portada y una torre. Merece la pena detenerse en su retablo mayor, que destaca por estar inconcluso. También, el sagrario de la sacristía, realizado en madera policromada. Cuando todavía se realizaban procesiones de la Virgen de Gracia, éstas entraban por la portada derecha y salían por la izquierda, pasando por delante del coro, donde las monjas entonaban cánticos en su honor.
Calle Sta. María de Gracia, 1, carmona
El Cortijo Abril se encuentra en Priego de Córdoba y ofrece alojamiento con piscina privada, patio y vistas al jardín. La villa tiene vistas a la piscina y está a 43 km de Zuheros. La villa dispone de 11 dormitorios, TV de pantalla plana con canales vía satélite, cocina equipada con microondas y nevera, lavadora y 6 baños con bidet. El establecimiento proporciona toallas y ropa de cama por un suplemento. La villa alberga un solárium. Los huéspedes pueden nadar en la piscina al aire libre, practicar senderismo o ciclismo, o relajarse en el jardín y utilizar la zona de barbacoa.
Ctra 3223 Rute-Carcabuey pk 12,5
Situado en el centro geográfico de Andalucía y en el Parque Natural de las Sierras Subbéticas. Cortijo Las Gregorias cortijo centenario rehabilitado y decorado rescatando los espacios y el mobiliario originales, que conviven con todas las comodidades en nuestros días. Dispone de un total de 20 Plazas, repartidas en 7 habitaciones distribuidas de la siguiente manera: 2 Habitaciones dobles, 3 Habitaciones de matrimonio, 1 Habitación triple. | 2 Plazas en sofá-cama. | 1 Salón con chimenea. | 1 Cocina. | 4 Baños compartidos. | 5 Camas supletorias. | 1 Terraza. La casa tiene dos plantas: En la planta baja está: Hall entrada, el salón, la cocina, el dormitorio «El Limonero», el dormitorio «El Olivo», baño «Burdeos» En la 1ª planta hay: Distribuidor habitaciones, dormitorio «El Granero», dormitorio «El desván», baño «verde», baño «azul», y dormitorio «el Saladero» Ideal para una familia al completo o una veintena de amigos.
Cortijo Las Gregorias, Lucena
El Cortijo Santa Elvira está situado en Lucena, con capacidad para 10 personas, ofrece una piscina al aire libre de temporada y una zona de barbacoa. Esta casa tiene jardín. La casa cuenta con 4 dormitorios, sala de estar y cocina con microondas. Hay TV de pantalla plana vía satélite. El personal de recepción proporciona información turística. La casa tiene terraza. En las inmediaciones se puede practicar senderismo.
Diseminado los Arbolitos, Lucena
Le couvent de la Merced fut fondé en 1509. L’œuvre la plus importante dont dispose cette église à l’intérieur est la niche de la Titular, datée de 1739 et considérée comme un exemple du baroque sévillan.
C/ La Merced, 4,Écija
Le couvent de Las Teresas est situé dans l’ancien palais des comtes de Palma, un bâtiment mudéjar très intéressant construit aux XIVe et XVe siècles. Il appartient aux Carmelitas Descalzas qui, dans la ville, sont appelées les sœurs Teresa. Sa fondation remonte à 1630 environ, lorsque les Carmelitas Descalzas durent s’installer dans ce bâtiment où se réunissaient habituellement les conseillers municipaux de la ville, ce qui provoqua de graves conflits. En 1655, elles purent commencer la construction de l’église grâce à l’aumône et à la dot d’une religieuse, sœur Paula de San José. La façade monumentale date de la transition du gothique à la Renaissance et présente une légère décoration manuéline avec l’utilisation de motifs marins. Cette décoration de façade, peu répandue dans cette région, fut ramenée par les comptes de Palma au XIVe siècle du sud du Portugal, où ils possédaient des terrains et des demeures seigneuriales avec des ornementations de ce style. Certaines pièces du palais présent des décorations en plâtre mudéjares intéressantes du XVe siècle qui, d’après la légende, furent façonnées par les mêmes maçons qui réalisèrent celles des Reales Alcázares de Séville. Un ouvrage de menuiserie singulier de la seconde moitié du XIVe siècle orne la […]
C/ Conde, 16,Écija
XVI-XVIIe. Pas de culte actuellement. Fermé au public. Le couvent dominicain de Santa Catalina Mártir, fut fondé le 8 mai 1558 à la demande de Don Juan Tellez Giron qui mourra le lendemain. Son église a été construite au XVIIe siècle, mais subit des transformations au XVIIIe. La sacristie de l’église, face à la porte d’entrée, est ornée de faïences du XVIIIe siècle, du même style que celles du monastère de la Encarnación, représentant des scènes de chasse et de tauromachie.
C/ Sevilla,Osuna
Comme c’est le cas de nombreux couvents, cette communauté de sœurs clarisses est spécialisée dans la confection et la vente directe de pâtisseries artisanales réputées pour leur qualité. Horaires de ventes de pâtisseries : Du lundi au samedi: 10h00 – 13h30 / 16h00 – 18h30 Dimanche: 11h00 – 13h00. La vente se fait au Musée l’après-midi.
C/ Santa María de Gracia,Carmona
Le couvent de Santa Florentina fut fondé par les religieuses dominicaines dans la deuxième moitié du XVIe siècle, qui le dédièrent à Santa Florentina. Plus tard, en 1714, le couvent fut reconstruit et, actuellement, il présente des parties de différentes époques, parmi lesquelles celles des XVIIe et XVIIIe siècles dominent. Cela laisse à penser qu’il est le plus ancien d’Écija et l’un des premiers de cet ordre (dominicain) à avoir été construit en Andalousie. La façade en arc brisé avec alfiz, qui permet d’accéder à l’intérieur, a été conservée du premier bâtiment. Daté du XVIIe siècle, le cloître ou patio principal s’élève sur deux niveaux avec des arcs en plein cintre reposant sur des colonnes. La plupart des dépendances du couvent, comme la sacristie (1708), le réfectoire, l’église (1714), la façade principale (1759) et le clocher, sont du XVIIIe siècle. La façade principale en pierre de style baroque, encadrée de deux paires de colonnes et ornée de mascarons et d’un fronton brisé, présente une niche abritant la Vierge del Rosario, dont le cadre indique la date de 1759. L’église ne possède qu’une seule nef. Le grand retable situé à l’intérieur est de style baroque et d’une grande qualité artistique. La communauté […]
C/ Santa Florentina, 12,Écija
Fondé entre 1353 et 1383, il appartint à l’ordre de prêcheurs de Saint Dominique jusqu’à la sécularisation, en passant aux mains de la juridiction ordinaire, puis de nouveau en possession de l’ordre vers 1970, qui fut obligé de fermer le lieu de culte quelques années après. Depuis 2004, l’église et les dépendances annexes ont été cédées à la Confraternité des ouvriers du règne du christ. Ce couvent jouit d’une grande popularité auprès de la noblesse d’Écija. Il se caractérise par une magnifique façade baroque, décorée avec des azulejos qui apportent une touche colorée à l’ensemble plein de beauté et d’harmonie architecturale. La tour inachevée des dominicains possède un seul corps de style néoclassique. L’église, de base rectangulaire, est constituée de trois nefs et d’une croisée d’ogives. La nef centrale est surplombée d’un magnifique plafond à caissons de tradition mudéjar, qui aurait été réalisé par Diego López de Arenas vers 1600. Érigée au milieu du XVIIIe siècle, la chapelle de la Vierge del Rosario fut inaugurée en 1761, également l’année de construction de la tour. Le grand retable fut installé en 1717, puis doré en 1724. La niche centrale accueille l’image de la Vierge de la Paz, tandis que des saints […]
Plaza de Santo Domingo ,Écija
Dans le Parc des peupliers, au sud, se trouve l’ancien couvent, construit à la moitié du XVIIe siècle. À partir de 1835, avec l’arrivée du désamortissement espagnol (expropriation et mise aux enchères publiques des terres et des biens aux mains de l’église au XVIIIème siècle), il devint un logement pour particuliers et un lieu de fabrication d’huile. L’originale façade de style Renaissance fut modifiée avec la construction d’un double perron et de grandes baies vitrées. De l’intérieur, il ne reste que la structure de base de l’église qui compte une seule nef avec des chapelles latérales et un vestibule dans la partie inférieure. Il abrite actuellement les archives et la bibliothèque municipale.
C/ Obispo Ceballos, 1,Alcalá la Real
Une communauté de Hermanas de la Cruz occupe les lieux depuis 1924. Le temple est composé d’une seule nef, d’une croisée d’ogives et de chapelles latérales. Sa construction date du milieu du XVIIe siècle, même s’il fut entièrement rénové au XVIIIe siècle. La façade sobre, qui se lève à la base de la nef, provient de cette époque. Le grand retable est composé de tableaux qui représentent l’Assomption, San Buenaventura, la Inmaculada, San Miguel, San Benito et le Jubileo de la Porciuncula. La Titular et le tabernacle sont datés de 1786.
C/Sor Ángela de la Cruz, 20,Écija
Il a été fondé en 1578 par Don Francisco Álvarez de Bohórquez et son épouse Catalina de Coria y Maldonado, à condition qu’ils acceptent 12 religieuses sans dot qui leur étaient apparentées. Il abrite actuellement une communauté de carmélites cloîtrées. L’ensemble architectural remonte au XVIe siècle, bien qu’il ait subi des modifications continues depuis lors. L’intérieur de l’église, à nef unique, suit le modèle typique des couvents cloîtrés de la province, rappelant le Moyen Âge. Au pied de l’église, dans la dernière partie réservée au cloître, se trouve un double chœur. Ses retables et le maître-autel du milieu du XVIIIe siècle, doré d’éléments végétaux superposés même sur les stipes qui séparent les trois rues qui le forment, se distinguent dans l’ensemble. Dans leur boulangerie, ils fabriquent leurs spécialités de génoises maison, de gâteaux aux amandes et de raisins secs, qui sont mis à la vente.
C/ Ponce de León, 13,Utrera
La demeure seigneuriale de los Pareja, de couleur blanche, possède un mirador allongé à l’un de ses angles, formé par des arcs en plein cintre et une toiture à quatre pentes, ainsi qu’une façade en pierre de style baroque de la fin du XVIIIe siècle. La corniche s’élève en formant un angle pour soutenir les armoiries de la famille Pareja. Certains éléments s’avèrent très intéressants comme la voûte qui surplombe l’escalier et le patio quadrangulaire, formée par une arcature en plein cintre. Le bâtiment abrite la bibliothèque publique municipale « Tomás Beviá « , et communique, à travers un patio, avec les Archives historiques municipales situées dans la rue Cintería.
C/ Santa Maria, s/n.,Écija
Ce gisement romain est probablement une zone de peuplement doublement rurale et urbaine. Étant plus grand qu’une villa romaine, elle peut être considérée comme un vicus ou un hameau. De taille inconnue, ce hameau aurait été en relation avec les zones de défense identifiées comme existantes à l’époque à Alcalá la Real. Ce hameau date du Ier siècle avant JC et a subi au moins deux destructions majeures : tout d’abord à la fin de la deuxième moitié du IIIe siècle après JC, à cause d’un important incendie et ensuite au IVe siècle. Le nom de « Domus Herculana » sert à désigner un édifice, un lieu de séjour ou un logement, dans lequel différents éléments retrouvés sont en rapport avec le personnage romain Hercule. Les travaux ont permis de récupérer ces restes pour les citoyens, de les rendre accessibles par une démarche didactique pour une meilleure compréhension de ce patrimoine par la population.
C/ Tejuela,Alcalá la Real
Club situé dans la ville sévillane d’Ecija. Il propose des vols en paramoteur.
Écija
Le Couvent de dominicaines de Madre de Dios se situe au centre névralgique de l’Almedina, à Baena, entre les ruines du château et l’Église de Santa María la Mayor. Fondé en 1510, il comporte une simple nef et une croisée du transept à laquelle sont adossées des chapelles, surmontées d’une voûte en berceau à lunettes. L’église du couvent possède deux portes donnant sur le portique susmentionné. La première est de construction primitive, et date de l’époque des Rois catholiques. La seconde est plus classique, attire moins l’œil et semble déjà tournée vers le XVIIe siècle. Outre le tableau qui domine le grand autel, le retable comporte soixante-quatre tableaux, dont se détachent les deux toiles de la partie du bas qui sont attribuées à l’atelier des Bossano, et qui portent sur l’Épiphanie et l’Adoration des apôtres. Le chœur, décoré dans le style plateresque, se trouve au pied. Ses rangées de sièges en bois sculpté datent du XVIe siècle, et sont séparées par des balustres et des chapiteaux ioniques et surmontées de créneaux représentant le buste d’apôtres, de saints et de prêtres de l’église.
C/ Arco de la Villa, 1,Baena
Cette église ne comporte qu’une seule nef avec une croisée du transept, surmontée d’une voûte en berceau à arcs-doubleaux et à lunettes. Les murs sont tous ornés de peintures de style rocaille, qui donnent à l’ensemble un côté monumental. L’église date du XVIIe siècle. Son grand retable en bois sculpté et polychrome a été réalisé en 1740. L’église renferme la vénérable image du saint patron de la ville, Nuestro Padre Jesús Nazareno, dont la tête est une sculpture italienne du XVIIIe siècle.
C/ San Francisco,Baena
Bâtiment du XVIe siècle, actuellement occupé par les Carmelitas Descalzas (Carmélites déchaussées). L’église de San Pedro fut fondée par Don Pedro Téllez Girón pour être le lieu d’enterrement de ses serviteurs, selon la légende. À la mort du IVe Comte d’Ureña, les Carmelites déchaussées sont venues s’y installer et l’occupent encore aujourd’hui. À travers l’ouverture qui se trouve dans la rue Christo, il est possible d’acheter les pâtisseries du couvent : biscottes et madeleines.
C/ Cristo,Osuna
Ancien couvent des chanoines du Saint-Esprit. Le culte y est assuré actuellement par Las Hermanas de la Cruz (Sœurs de la Croix) dans un couvent reconstruit au XVIIIe siècle. Il y a des références à l’établissement du Saint-Esprit peu après le milieu du XVIe siècle. Il était habité par la congrégation des chanoines, qui étaient chargés de l’Hospice pour enfants trouvés jusqu’à sa sécularisation au XIXe siècle. Les Sœurs de la Croix assurent le culte depuis 1939.
sor angela de la cruz, 23, osuna
Elle occupe le cœur de la place de l’ancienne ville. D’origine médiévale, elle fut bâtie par les frères de Calatrava sur une ancienne mosquée musulmane, qui voua son culte à Sainte Marie des Anges en 1241, date de la conquête de la ville par Ferdinand III. À l’intérieur, on trouve cinq nefs disposées en files d’arcs surélevés sur 44 colonnes en marbre rouge et couvertes de voûtes en berceau. Le retable majeur, réalisé par Melchor de Aguirre, est fabriqué en marbre rouge et noir, d’après le projet du célèbre architecte local José Granados de la Barrera. La niche centrale accueille la sculpture de Notre Dame de l’Ascension, œuvre grenadine de 1693. Il convient aussi de remarquer le Chœur sculpté en bois et l’orgue en son sein.
Plaza de los Condes de Cabra, 4,Cabra
Cette église fondée en 1592 appartenait à l’hôpital de ce patronage. L’église, avec une seule nef et un haut-chœur à sa base, présente une façade de style renaissance, ainsi qu’une niche dans sa partie centrale qui abrite une image en pierre de la vierge. Le retable principal, daté du XVIIe siècle, a pour élément dominant une colonne salomonique. Le maître-autel est consacré à la Inmaculada, datée du début du siècle, et à ses côtés se trouve une image pieuse de Jesús del Mayor Dolor, créée par Lorenzo Cano. Plusieurs tableaux viennent décorer les retables latéraux, parmi lesquels il convient de citer ceux de San Juan Nepomuceno et La Visión de San Antonio de Padua, tous deux réalisés dans le deuxième tiers du XVIIIe siècle. La nef présente, à sa base, un chœur orné de décorations en plâtre du premier quart du XVIIe siècle, avec une chaire en jaspe rouge et noir du XVIIIe siècle.
C/ del Conde, 31,Écija
Elle est aussi connue sous le nom de Sainte Marie la Grande (Santa María la Mayor), puisque elle est devenue le nouveau siège de l’église abbatiale de la Forteresse de la Mota, et le principal temple de la ville, depuis la désacralisation et la destruction de cette dernière. Les frères du tiers ordre franciscain s’y installèrent au début du XVIe siècle, mais le processus de construction de l’église fut laborieux et marqué par de nombreuses modifications et ne s’acheva pas avant la fin du XVIIIe siècle. La Patronne de la ville, la Vierge de las Mercedes, se trouve dans ce temple.
Glorieta Compás de Consolación, alcala la real
Ce temple a été déclaré Bien d’intérêt culturel. Elle est composée d’une seule nef, d’une croisée d’ogives, de chapelles entre les contreforts et d’un presbytère à façade plane, derrière lequel se trouve la sacristie. L’église fut inaugurée en 1614 et les décorations en plâtre qui la recouvrent furent réalisées au XVIIIe siècle. Elle présente une ornementation fastueuse de peintures murales avec des décorations en plâtre polychromées et dorées, ainsi qu’une excellente collection de peintures, de sculptures et de menuiseries qui, avec l’orgue du XVIIIe siècle, sont le symbole du baroque d’Écija. La façade donnant sur l’extérieur et réalisée par Ignacio Tomás a été récupérée du couvent des carmélites aujourd’hui disparu. Le grand retable, constitué de deux corps et de cinq allées séparées par des colonnes et des pilastres en forme de pyramides renversées, ainsi qu’un attique, fut construit entre 1736 et 1739 et présente des sculptures de saints carmélites. La niche principale abrite une sculpture de la Vierge del Carmen du XVIIIe siècle et une sculpture de la Inmaculada datée de la même époque décore l’attique. La coupole de la croisée d’ogives est revêtue de moulures géométriques et végétales exubérantes réalisées en plâtre.
C/ La Marquesa, 12,Écija
Cette église fut fondée en 1558, mais son architecture actuelle est due aux travaux réalisés à partir de 1620. L’église en forme de croix latine est dotée d’une façade sans fioritures, de chapelles latérales et d’une coupole centrale semi-circulaire qui, depuis sa hauteur, inonde de lumière l’intérieur de l’église. Le maître-autel est surmonté d’un majestueux retable de style baroque salomonique et d’un chœur aux superbes stalles. Le couvent annexe se compose d’une agréable cour ornée de deux niveaux d’arcatures – pour les cloîtres inférieur et supérieur – et centrée autour d’une imposante fontaine datant du début du XVIIe siècle.
Calle Juan Jiménez Cuenca, 43,Lucena
Ce temple fut bâti en 1718 par Jerónimo Ramírez de Quero d’après les plans réalisés par Leonardo Antonio de Castro, célèbre artiste natif de Lucena. Cette église rectangulaire, toute en longueur, se compose de cinq sections coiffées d’une voûte en berceau – sauf aux abords immédiats du presbytérium, lui-même surmonté d’une coupole aux pendentifs décorés de feuilles mortes encerclant les armoiries des fondateurs de l’église. L’extérieur de l’édifice se compose d’une façade en pierre de taille au parement rectangulaire surmonté d’un fronton triangulaire avec oculus, dont les formes rappellent le style herrerien. Le retable majeur, sur lequel veille l’Immaculée, fut réalisé vers 1800. Sa forme dénote de fortes influences néoclassiques et présente une structure traditionnelle en trois parties : la partie principale, l’attique, et une prédelle très haute, qui comprend les portes de la sacristie superbement sculptées et dorées de façon géométrique, ainsi qu’un tabernacle couronné d’un fronton droit. Parmi les diverses sculptures, on reconnaît l’effigie de San Miguel, qui pourrait dater de l’époque coloniale.
antonio eulate,19, Lucena
Construction qui allie caractère néoclassique et baroque, commencée en 1746 et achevée au début du XIXe siècle. La voûte est constituée de deux arcs doubleaux qui déploient trois petites voûtes de stalles concentriques, avec une lanterne dans celle du milieu.
C/ Angustias 8,Alcalá la Real
De style rococo, elle fut fondée en 1773 par Josefa del Mármol afin de doter la ville d’une église à l’image de Notre-Dame des Douleurs. Sa construction fut achevée en 1775 et la décoration intérieure en 1778. L’église comporte une nef unique avec une voûte d’arêtes à lunettes ; au sommet une coupole à oves repose sur une corniche. La paternité de l’église et des retables est attribuée à Juan de Dios Santaella. Dans la niche, le groupe sculpté est de l’école de Grenade de la fin du XVIIIe siècle, la figure du Christ réalisée par le cercle de José de Mora. Sur la prédelle, deux grandes figures de la Vierge et de saint Joseph, avec l’enfant dans les bras, sont l’œuvre de Joseph Risueño au XVIIIe siècle. Le portail de marbre polychrome à deux battants est également de Santaella.
C/ Río,Priego de Córdoba
Reconstruite sur l’ancienne chapelle de San Antonio Abad, rénovée en 1780 par Francisco Javier Pedrajas. Disposition en croix latine, avec une courte croisée en forme d’auge, l’église est recouverte par une voûte d’arête en deux sections et une coupole à oves. En dessous, une corniche incurvée est décorée d’archanges imposants. Les fines platreries de style rococo sont répartis autour de l’église et, comme le reste, semblent inondées par la lumière qui filtre à travers les vitraux de la coupole et de la voûte. Le retable principal est l’œuvre de Pedrajas, comme les latéraux. Le premier est formé d’une prédelle, de deux corps et d’un volet central. Un comporte des colonnes corinthiennes ornées de rubans qui se croisent, et sur les côtés les images de San Ramón Nonato et de saint Thomas d’Aquin. La partie centrale est occupée par le sanctuaire de la Vierge de la miséricorde. Sur le second corps, l’image de Santa Catalina. La décoration rococo est dorée, comme les moulures. Le sanctuaire, présidé par l’image de Nuestra Señora de las Mercedes, une statue de petite taille, est le seul élément qui reste de l’ancienne chapelle. Attribué à Juan de Dios Santaella, il date de 1753. Le sol est […]
C/ carrera de las monjas, 24, Priego de Córdoba
Construit au XVIe siècle, cet ancien couvent dominicain est de style baroque et rend hommage à la Vierge de Guadalupe, patronne de Baena. Il est composé d’une grande nef centrale sans croisée du transept, et de deux nefs latérales séparées par des arcs plein cintre. Cette église se démarque par son plafond à caissons mudéjar du XVIe siècle, qui orne la chapelle principale et n’a pas d’équivalent dans la région, ainsi que par son retable en bois sculpté et polychrome du milieu du XVIIIe siècle. Citons également l’image du Cristo de la Sangre, qui date du XVIIe siècle et a été déclaré Bien culturel d’Andalousie en 1988 par la Junta de Andalucía. Il s’agit selon le professeur Hernández Díaz d’une « œuvre magistrale » attribuée aux frères García.
C/ Virrey Don Joaquín del Pino, s/n,Baena
Construite en 1506 sur l’ermitage de San Martín, elle appartenait à l’origine à la communauté des minimes. C’est le quatrième couvent de l’ordre qui fut fondé en Espagne. Elle présente une forme en croix grecque, deux façades baroques en marbre, une voûte revêtue de décorations en plâtre du XVIIIe siècle, ainsi qu’une tour à trois corps construite en brique apparente, influencée par le style baroque de Malaga. Le grand retable, daté de la première moitié du XVIIIe siècle, offre une série de tableaux de la même époque, qui représentent la Inmaculada, la Imposición de la Casulla de San Ildefonso, San Miguel, San José, San Antonio de Padua et San Blas. La niche centrale abrite une sculpture du Cristo de Confalón, une œuvre datée du milieu du XVIe siècle, et une image de la Vierge de la Victoria décore l’attique. Les sépultures des marquis de Peñaflor sont conservées à l’intérieur de l’église. La tour, construite en brique entre 1754 et 1757, se distingue des autres tours baroques d’Écija par son fût qui, dans ce cas, est décoré. La confrérie du Cristo de Confalón est parvenue à un accord avec l’Église pour y installer son siège, en continuant à pratiquer le culte […]
C/ de la Victoria,Écija
Elle a ses origines dans la chapelle de San Nicasio du XVe siècle. Construite sur une ancienne mosquée après la reconquête chrétienne. Rénovée au XVIIIe siècle par Juan de Dios Santaella. Elle est de forme rectangulaire. La profusion du décor baroque à l’intérieur laisse peu d’espace libre. Traditionnellement, chaque samedi de l’année à minuit, les Frères, los Hermanos de la Aurora, parcourent les rues de la ville, en chantant des chansons populaires d’antan.
C/ Carrera de Álvarez,Priego de Córdoba
XVIe, rénovée aux XVIIe et XVIIIe siècles. Abrite l’image de la sainte patronne d’Osuna, Notre-Dame de Consolation. Appartenait à l’origine au Tiers-Ordre de Saint-François, devenue église paroissiale aujourd’hui. La construction de l’église date du XVIe siècle et elle a fait l’objet de rénovations de style baroque aux XVIIe et XVIIIe siècles. Le retable comporte une image de Notre-Dame de Consolation, la sainte patronne locale, que l’on sort en procession tous les 8 Septembre.
C/ Diseminado el Calvario, s/n,Osuna
XVIe. Rénovée aux XVIIe et XVIIIe siècles. Ancien Couvent des Minimes de San Francisco de Paula. À l’origine, ce fut le Couvent des Minimes de San Francisco de Paula, actuellement l’église paroissiale de Nuestra Señora de la Victoria. À l’intérieur se trouvent des chefs-d’œuvre d’imagerie : la magnifique sculpture de la Vierge des Douleurs réalisée par José de Mora, originaire de Grenade, Notre Père Jésus de Nazareth, ouvrage attribué à l’atelier de la famille Roldán et la Virgen de las Angustias (Notre Dame des Douleurs).
Calle Carrera,Osuna
Elle fut d’abord construite dans des maisons léguées par les dames Álvarez. Pendant les travaux, la statue de la vierge fut conservée dans l’hôpital, puis en 1747 elle fut déplacée dans le nouveau bâtiment terminé. Cette église est actuellement occupée par la congrégation de las Hermanas de la Cruz, qui utilise les lieux depuis le début du siècle pour le culte public, en réservant un petit oratoire pour le culte privé. Sa base en forme elliptique constitue l’un des rares exemples d’architecture baroque sévillane de planta movida (plan déplacé), où ici l’élément baroque est donné par le détail architectural et non par la décoration.
san fernando, 33, Utrera
Il s’agit d’un petit temple construit sur les ruines d’un ermitage du XVIe siècle dédié à Sainte Anne. Ici, on rend hommage à l’une des images les plus vénérées de la ville, la Vierge de la Solitude, œuvre de Pedro de Mena, acquise à Grenade en 1663. Le portail, de 1729, nous permet d’accéder à un intérieur de structure carrée, divisée en trois nefs. Le presbytérium est couvert par un joli dôme, orné d’abondantes plâtreries aux motifs de feuilles mortes enchevêtrées, taillés par Antonio Álvarez, tout comme le retable principal. Celui-ci fût doré en 1744 par Francisco Ponce de León, dix ans après sa construction.
C/ Santa Ana, 1,Cabra
L’église fut fondée au XVe siècle. Des travaux importants furent réalisés au XVIe et au XVIIIe siècle, et une tour fut construite en 1637. La chapelle du Santo Sepulcro conserve une urne de grande valeur avec des incrustations en écaille et argent du XVIIIe siècle. Le grand retable est décoré avec des colonnes recouvertes de rocaille et de pilastres en forme de pyramides renversées. La niche centrale abrite la Vierge del Carmen, dont la tenue est décorée suivant la même thématique que le retable, et des sculptures représentant Santa Teresa, Santa Magdalena de Pazis, San Eliseo et San Alberto de Sicilia longent les allées latérales. Le temple possède également une collection importante de peintures.
C/ El Carmen, s/n,Écija
Elle fut fondée en XVIe siècle, mais sa structure fondamentale date du XVIIe siècle. Elle demeura une annexe du couvent régi par les frères de l’Ordre jusqu’en 1835. Le portail, taillé en pierre, sobre, nous présente l’image de S. Jean de Dieu. À l’intérieur, on peut admirer une nef unique en voûte d’arêtes, terminée d’un dôme. Les évolutions subies par son abondante corniche revêtent une signification spéciale. Il convient aussi de souligner les beaux retables qui embellissent le temple.
C/ José de Silva, s/n,Cabra
Le Musée de Saint Jean (Museo de San Juan) se trouve dans l’église de Saint Jean (XVIe et XVIIe siècles), dans la rue « calle Rosario » et abrite la sculpture du Christ de la Santé (Cristo de la salud). La visite de ce musée offre la possibilité de découvrir la religiosité populaire d’Alcalá la Real, ainsi que des éléments caractéristiques de ses mises en scène de la Bible, telles que les ‘petits masques’ (rostrillos) qui caractérisaient des personnages bibliques, typiques de la Semaine sainte d’Alcalá. Contact : Antonio Pérez Rosales.
Placeta San Juan, 4,Alcalá la Real
Face à la Promenade des peupliers (Paseo de los Álamos), s’élève l’actuelle église, construite au XVIIIe siècle sur un petit ermitage du XVIe. La base présente une forme ellipsoïdale de laquelle ressortent quatre espaces rectangulaires correspondant aux pieds, au chevet et aux chapelles latérales. Il faut souligner la perfection de sa base elliptique à la voûte de briques. La façade est divisée en trois : la façade avec un arc en plein cintre orné de nombreuses moulures, flanqué de pilastres toscanes, une niche encadrée de colonnes ioniques et de pinacles et qui s’achève dans la partie supérieure, par un clocher à jour orné d’ailerons et s’achevant sur des pinacles.
C/ Álamos, 8,Alcalá la Real
XVI-XVIIe. Il s’agit de l’ancien couvent des Augustins. Don Juan Tellez Giron fut également le fondateur du couvent des Augustins d’Osuna. Son architecture est particulièrement intéressante, constituant le seul exemple évident, à Osuna, d’une église jésuite dans la lignée de l’école qu’initia Vignola en construisant église du Saint Nom de Jésus à Rome. La construction du couvent a débuté vers la fin du XVIe et les travaux se sont poursuivis au cours du siècle suivant. S’y trouve l’une des plus belles collections d’images visibles à Osuna.
Plaza Santa Rita, 2, Osuna
XVIIe. Ancien couvent jésuite. Les Jésuites arrivent dans la ville en 1612, s’installant d’abord dans les dépendances de l’ancien hôpital de la Encarnación. Ils acquièrent rapidement les terrains nécessaires à la construction, en 1615, de leur nouvelle église entre les rues Maese Diego, Hornillos et Sevilla. Trois ans plus tard, suivant le projet réalisé par Pedro Sanchez, commence la construction du couvent de la Compagnie, qui subira plusieurs transformations au cours du XVIIIe siècle.
C/ Compañía, Osuna
Cette église présente une nef en forme de croix latine. La façade, de style néoclassique, présente des voûtes en berceau avec des lunettes dans le corps, et une coupole au niveau de la croisée d’ogives, constituant la toiture du bâtiment. Des blasons des saints patrons ornent les pendentifs. Le retable principal moderne est surmonté de l’image du Corazón de Jesús. Une petite image de la Inmaculada de l’atelier de Montañés datée du premier quart du XVIIe siècle est située à droite, et une autre de San Juan Nepomuceno à gauche. Un tableau de San Felipe Neri décore l’attique.
Calle del Arcipreste Aparicio, 2
Cette église de style néoclassique est composée de trois nefs, d’une croisée d’ogives, où sont conservées des voûtes gothiques de l’époque de sa fondation, et d’un chœur carré. À l’origine, il s’agissait d’une construction gothique, mais les rénovations de l’époque baroque ont dominé l’ensemble. L’étape initiale de construction s’acheva pendant le dernier tiers du XVe siècle, puis une série de travaux furent réalisés dans la première moitié du XVIIe siècle, et enfin, le bâtiment fut presque entièrement reconstruit au milieu du XVIIIe siècle. La façade de l’église qui donne sur la Plaza de España date du XVIIe siècle. Le grand retable du XVIIIe siècle qui décore l’intérieur est considéré l’un des plus importants de l’époque baroque d’Écija. Il s’articule autour de grandes pilastres en forme de pyramides renversées et présente des sculptures de saints franciscains tels que San Francisco de Asís et San Antonio de Padua; ainsi qu’une image de Santo Domingo de Guzmán.
Plaza de España, 7,Écija
Sa construction date de 1510 à 1512, par la miséricorde de D. Pedro Fernández de Córdoba, premier Marquis de Priego, sur l’invocation de Saint-Etienne, et ne fut achevée que vers 1548. C’est une église de style gothique tardif ou mudéjar, remaniée au XVIIIe siècle dans le style baroque, par Jeronimo Sanchez de Rueda et, plus tard, par Juan de Dios Santaella. De l’église d’origine il reste peu de choses. La rénovation a commencé en 1712 le bâtiment a subi le même traitement que l’église de l’Assomption : coupoles à oves et plâtreries baroques à profusion. Le retable principal, réalisé par Juan de Dios Santaella fut achevé en 1781. Il se compose d’une base, un premier corps orné de niches des saints franciscains et le sanctuaire au milieu, où figure l’image de la Vierge attribuée au cercle des Mora. L’ensemble culmine dans un couronnement incurvé, avec une niche centrale contenant l’image de San Esteban. La sculpture qui le recouvre est entièrement rococo. La chapelle de Jésus de Nazareth est l’un des joyaux baroques de Priego, commencée en 1731 par Jeronimo Sanchez de Rueda et Juan de Dios Santaella. De forme hexagonale, elle comporte de grandes niches et un balcon, éclairés du haut […]
C/ de San Francisco, Priego de Córdoba
Elle fut construite en 1645 par les jésuites et occupée par les franciscains à partir de 1797. Ces derniers réalisèrent une grande rénovation de l’ensemble en l’adaptant aux nouveaux besoins matériels et spirituels imposés par l’ordre. Après les franciscains, l’église fut abandonnée pendant une longue période, allant de la seconde moitié du XIXe siècle jusqu’aux années vingt du siècle suivant. La nef présente une architecture influencée par le vieux modèle de la Renaissance imposé par Hernán Ruiz. L’église possède de magnifiques décorations telles que des peintures datées de la moitié du XVIIIe siècle. À première vue, l’élément le plus spectaculaire de l’ensemble est la coupole de l’église, qui nous montre une vision étonnante de la résurrection de son saint.
C/ Virgen de Consolación, 1. Utrera,Utrera
L’église paroissiale de San Gil Abad est située dans la partie la plus élevée de la ville, dans la rue typique de San Antonio du quartier de San Gil ou Cerro del Alcázar. Elle se fond très bien dans le décor, un lieu plein d’authenticité et de charme. Avec l’église de Santiago, c’est l’une des plus anciennes de la ville, toutes deux furent construites au XVe siècle, concrètement en 1479. Tout au long des siècles, elle subit plusieurs transformations et fut complétée par de nouveaux éléments, dont l’influence baroque domine sur pratiquement tout le bâtiment. Seule la structuration générale du bâtiment a été conservée de l’étape initiale, avec une base rectangulaire et trois nefs à cinq travées chacune, séparées par des arcs brisés qui reposent sur des piliers. L’église fut rénovée dans le troisième tiers du XVIIIe siècle, en remplaçant les toitures en bois primitives des nefs par des voûtes d’arêtes. La chapelle baptismale et la chapelle des âmes furent érigées à la même époque, et le chevet fut rénové en construisant la sacristie. Entre 1727 et 1730, une construction avec une seule nef de cinq travées fut érigée transversalement. La tour, située à gauche de la façade avant, fut […]
C/ San Antonio, s/n,Écija
Dans la pittoresque place de Santa Maria la Mayor, au cœur du quartier du Cerro, on retrouve le temple le plus ancien de la ville. Fondée au VIIe siècle par l’évêque d’Egabro, Bacauda (prélat de la région qui participât au VIIIe Concile de Tolède), l’intérieur de cette église nous offre une pièce rare. Il s’agit d’une ara, pierre en forme de pilastre qui, par ses motifs gothiques, consacra le bâtiment à Sainte Marie le 30 mai de l’ère 688 (650 ap. J.-C.). Il s’agit là de la manifestation épigraphique de la dévotion marianne la plus ancienne du diocèse de Cordoue et l’une des rares en Andalousie.
Plaza Santa María la Mayor, 3,Cabra
L’église paroissiale de San Juan Bautista date de l’époque de la Reconquista, lors de la répartition des biens après la prise de la ville par le roi Ferdinand III. Sa construction est typique des églises gothiques-mudéjares, avec trois nefs recouvertes par une charpente en bois et un chevet polygonal en pierre de taille. La Capilla Sacramental était adossée à la nef latérale droite. Les rénovations qui se succédèrent tout au long des XVIe et XVIIe siècles changèrent considérablement la physionomie interne du bâtiment, avec notamment la construction d’une tour dans le second quart du XVIIIe siècle. En 1776, le bâtiment était en état de ruine et l’église fut alors entièrement démolie pour en reconstruire une nouvelle. L’église de San Juan Bautista est aujourd’hui ce qui devait être la Capilla Sacramental. Le maître-autel présente un retable du XVIIIe siècle, de style baroque, avec une image du Nazareno du XVIIe siècle. Il convient également de souligner les peintures de Antonio de Pereda (XVIIe siècle) et Juan de Espinal (XVIIIe siècle). Sa tour est constituée de trois corps de cloches d’une hauteur considérable. Les corps supérieurs présentent un magnifique style baroque qui font de cette église la plus emblématique et la plus belle de toutes celles […]
Plaza de San Juan, s/n,Écija
Cette église baroque est dotée d’une magnifique façade en marbre et d’un superbe cloître. La façade, l’une des plus somptueuses de toute la province au niveau architectural, fut réalisée au XVIIIe siècle par le tailleur de pierre Lorenzo Vicente del Pino Ascanio (natif de Lucena), d’après des plans de José de Bada y Navajas.
C/ Párroco Joaquín Jiménez Muriel, 3, Lucena
Ancien couvent des alcantarinos. Église baroque achevée en 1690, en forme de croix latine, avec des voûtes en berceau et une coupole demi-lune sur la croisée du transept. Quelques rares décorations en plâtre. Le retable principal, réalisé par les frères Sanchez de Rueda, se compose d’un corps divisé en trois volets par quatre colonnes torses, celui du milieu communique avec le sanctuaire qui abrite une belle image de la Vierge Immaculée de José de Mora, remarquable pour sa riche polychromie, sur les côtés on trouve les images de Santa Rosa de Viterbo et de Santa Rosalía. Au couronnement: une niche avec une image de San Pedro du début du XVIe. Au XVIIIe siècle, le retable a subi des modifications lors de l’exécution d’un grand sanctuaire, commencé par Jerónimo Sanchez de Rueda et complété en 1739 par Juan de Dios Santaella. Il s’agit d’un grand espace octogonal avec une coupole semisphérique surmontée d’une lanterne aveugle. Le décor combine plâtreries ornées de têtes d’anges, miroirs et perles de verre argenté, le tout mêlant couleurs audacieuses et imitations de marbre. Dans la chapelle du Vénérable Tiers Ordre on trouve l’image du Saint Enterrement attribuée à Pablo de Rojas et est datée de 1594. […]
Plaza San Pedro,Priego de Córdoba
Ce bâtiment, de base rectangulaire, est composé d’une seule nef avec des chapelles latérales munies de tribunes élevées, entre les contreforts, et une croisée d’ogives. La nef est surmontée de voûtes d’arêtes et la croisée d’ogives d’une voûte hémisphérique. Bien qu’il ait été établi sur d’anciennes constructions, le temple actuel date du second tiers du XVIIIe siècle. La tour, située à droite du chevet et décorée avec des azulejos et des briques sculptées, a également été construite à cette époque par les Terceros. Le grand retable est de style néoclassique. Il présente des sculptures de Santo Domingo et San Francisco, ainsi que du Padre Eterno au niveau de l’attique. La niche centrale contient un groupe sculptural représentant Santa Ana avec la vierge daté de la fin du XVIIIe siècle. La tour primitive fut construite en 1641 sur une grande tour de la muraille qui faisait partie de la Puerta Real. Le tremblement de terre de 1755 donna lieu à une période de reconstruction intense, et une nouvelle tour fut alors érigée. Même si elle s’avère être la plus petite des tours d’Écija, elle se distingue par sa décoration exclusive composée de briques sculptées, d’azulejos et de surfaces en crépi. L’église […]
c/ Emilio Castelar, 62,Écija